Jacques morali biography
Jacques Morali
Jacques Morali, né le dans le 3earrondissement de Paris, et mort le à Neuilly-sur-Seine[1], est un auteur-compositeurfrançais de musique disco.
Il est connu pour être le coproducteur (avec Henri Belolo) du groupe Village People.
Biographie
[modifier | modifier le code]Jacques Morali est d'abord vendeur dans un magasin de disques à l'aéroport d'Orly, puis décide de se lancer dans une carrière musicale[2]. Il débute à la fin des années en composant à Paris des musiques pour orchestres, pour le Crazy Horse, pour lui-même (il interprète en Elle aime, elle n’aime pas), mais aussi pour des interprètes comme Peter Fersen.
En , à 24 ans, il devient directeur artistique de la maison de disques Polydor[2].
Alex briley Unless indicated otherwise, the text in this article is either based on Wikipedia article "Jacques Morali" or another language Wikipedia page thereof used under the terms of the GNU Free Documentation License ; or on research by Jahsonic. The film, a fictionalized account of the Village People's origin in which Morali was represented by Steve Guttenberg as "Jack Morell" , was a critical and commercial failure. With disco dead by the early s, and the Village People's status as pop stars greatly endangered by the abysmal failure of Can't Stop the Music , the group whose last charting song was the minor hit "Ready for the '80s" had to prove that it could adapt to changing times and tastes. The identity of the subject was difficult to ascertain, and in , Esquire writer Tom Junod solved the mystery — Jonathan Briley, an employee of Windows on the World, the restaurant at the top of the WTC.Au début des années , il rencontre Henri Belolo[3].
Début , Jacques Morali intéresse Henri Belolo en lui proposant d’adapter la chanson brésilienne Brazil d’une comédie musicale interprétée par Carmen Miranda. L’idée de Morali est d’essayer de faire un enregistrement pour les discothèques. Séduit par l’idée, Henri part avec Jacques à Philadelphie au studio Sound Sigma.
Angel morales Morali photographed models clothed in leather, hard hat, and cowboy attire to pose on the record jacket and entitled the album Village People. At that time, a version of the group was still occasionally playing gigs around the world, but when Willis took charge, he put a stop to that. His brother was Alex Briley of the Village People. Metas Rss feed Twitter.Après un casting rapide, trois jeunes filles (Cheryl Jacks, Cassandra Wooten et Gwendolyn Oliver) sont recrutées et le groupe The Ritchie Family est formé[2],[4],[5],[6].
À partir de ce premier succès, les deux hommes travaillent sur le concept Disco naissant, l’un comme compositeur, et l’autre comme auteur et éditeur (Black Scorpio).
Ils vendent cent mille singles.
Par la suite, Casablanca Records les signe, et Henri et Jacques recrutent d'autres chanteurs (Glenn Hughes, Alex Briley, David Hodo , Randy Jones).
Jacques morali dead Beginning in France [ edit ]. The Viking Raids, A. The Veronicas. Henri Belolo, Morali's creative partner, helped form the Village People, constructing its multi-character vibe and also nailing down its celebratory disco-pop sound.Morali développe le concept du groupe Village People en s'inspirant de figures stéréotypées de la communauté gay de Greenwich Village à New-York[6],[7], non sans rappeler les illustrations de Tom of Finland[2],[8]. WBLS radio et le DJ Frankie Crocker commencent à passer les disques de Village People, puis ce sont les hit-parades sur les télévisions, les spectacles… Macho Man suit avec le même succès que San Francisco.
En , Jacques découvre un lieu particulier, le YMCA (The Young Men Christian Association), lieu d’accueil et également de rencontres. Jacques Morali commence à fredonner Young Man…Young Man…: 6 d’albums tours sont vendus dans le monde entier.
Par la suite, il co-compose avec Patrick Juvet et Victor Willis (Village People) des titres comme I Love America[9], Viva California, pour Régine, Dalida, Eric Russell, Mimi Coutelier, Eartha Kitt, Phylicia Rashad, Patricia Norton, Julius Brown, Starlight, Diva, Dennis Parker, David London, Break Machine, Wayne Scott pour le film Rambo, Pia Zadora, etc.
Jacques morali biography Jacques Morali's music was characterized by simple arrangements, a unique sense of camp , simplistic lyrics and simple catchy melodies that could be remembered easily. Between and Morali produced over 65 albums. Playboy Ivan Wilzig throws a big bash each summer at his 15,square-foot castle in the exclusive Hamptons area of New York, and in , according to Page Six , the party was set to be a Studio themed affair. Village People mastermind Jacques Morali based the character on patrons of a New York leather bar and sex club called the Mineshaft , which Hughes frequented.C’est aussi au début des années qu’il compose les jingles pour la station de radio naissante NRJ. Il est le compositeur ou l’auteur de près de œuvres musicales enregistrées auprès de la Sacem[10].
Jacques Morali est contaminé par le VIH au milieu des années et meurt du sida en à Neuilly-sur-Seine[7],[3],[11].
Il est enterré au cimetière de Vence[12].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- ↑État civil trouvé dans la base MatchId des fichiers de décès en ligne du Ministère de l'Intérieur avec les données INSEE (consultation 12 avril )
- ↑ abc et dSamuel Blumenfeld, «Village People, un boys band disco cultissime «inventé» par deux producteurs français», sur , (consulté le ).
- ↑ a et bJulien Baldacchino, «Village People, Eiffel 65, Ilona: Henri Belolo, le producteur qui se cachait derrière ces tubes, est mort», sur France Inter, (consulté le ).
- ↑Latifa Babas, «Morali et Belolo, deux producteurs marocains derrière le succès planétaire des Village People», sur Yabiladi, (consulté le ).
- ↑(en) James Arena, First Ladies of Disco: 32 Stars Discuss the Era and Their Singing Careers, McFarland, (ISBN, lire en ligne), p.–
- ↑ a et bSamuel Blumenfeld, «Village People, un boys band disco cultissime "inventé" par deux producteurs français», Le Monde, (lire en ligne)
- ↑ a et b«Mort du producteur Jacques Morali», Le Monde, (lire en ligne)
- ↑(en-US) John Rockwell, «Pop: The Village People», The New York Times, (ISSN, lire en ligne, consulté le )
- ↑Fabien Lecœuvre, «I love America», dans Le petit Lecœuvre illustré.
Dictionnaire. Histoire des chansons de A à Z
, Éditions du Rocher, , p. - ↑«Œuvres de Jacques Morali», sur SACEM.
- ↑(es) El País, «Jacques Morali, uno de los creadores del movimiento disco», El País, (ISSN, lire en ligne, consulté le )
- ↑«Avec ses célébrités, le cimetière de Vence est-il un concurrent au Père Lachaise?», sur Nice-Matin, (consulté le ).